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Un dispositif Groupe ouvert à tous
Son fonctionnement
Dans le cadre de l’application de la loi Sapin 2 et de la loi sur le devoir de vigilance, le Groupe a renforcé son dispositif d’alerte en déployant un nouveau dispositif d’alerte commun à l’ensemble du Groupe et a défini parallèlement une nouvelle politique relative aux lanceurs d’alerte. Ce dispositif est ouvert à tous les collaborateurs, permanents ou temporaires, ainsi qu’à toutes ses parties prenantes externes depuis janvier 2019 et couvre l’ensemble des enjeux de vigilance (liés aux engagements éthiques du Groupe).
Afin d’assurer la confidentialité des informations voire l’anonymat quand cela est prévu par la réglementation, les demandes sont, dans un premier temps, reçues par un prestataire, reconnu dans le domaine, garantissant les exigences de la Politique relative aux lanceurs d’alerte, qui relaie les alertes auprès de la Direction éthique, Compliance & Privacy du Groupe pour son traitement.
Nombres d’alertes
En 2023, 274 alertes ont été reçues via le dispositif, dont 82 concernant des catégories de risques relevant du devoir de vigilance. Elles concernent en synthèse :
Allégations d'harcèlement moral et sexuel | Allégations liées à la santé-sécurité | Allégations liées à des pratiques de travail | Allégations de discrimination | Questions liées à l’environnement et au droit des communautés |
68 | 13 | 11 | 18 | 7 |
Comme pour toutes nos alertes, les alertes liées aux allégations de discrimination et de harcèlement sont systématiquement et immédiatement traitées. Lorsque les faits sont avérés, des sanctions disciplinaires sont systématiquement prises et des plans d’actions déployés.
Vous souhaitez nous alerter sur des faits liés à nos activités, qui vous paraissent contraires aux droits humains, à la santé-sécurité des personnes ou à l’environnement ?
Saisissez le dispositif d’alerte ENGIE !