L’éolien est au cœur de la transition énergétique. Il représente aujourd’hui 837 GW de capacité installée dans le monde, avec une augmentation de 12,4 % par rapport à 2020 selon le Global Wind Energy Council.
L’éolien est au cœur de la transition énergétique. Il représente aujourd’hui 837 GW de capacité installée dans le monde, avec une augmentation de 12,4 % par rapport à 2020 selon le Global Wind Energy Council.
ENGIE contribue à cette croissance, et lance de nombreux projets dans le monde, pour atteindre 80 GW de capacités renouvelables d’ici 2030, dont de nombreux projets éoliens terrestres et en mer.
L’énergie éolienne présente l’avantage d’être illimitée, décarbonée et désormais compétitive. C’est une ressource inépuisable (le vent constitue en effet une ressource intarissable), disponible localement, prévisible (de façon précise à 24 ou 48h) et assez constante à l’échelle annuelle (peu de variabilité d’une année à l’autre). Enfin, en Europe la production éolienne est plus importante en hiver lorsque la demande d’électricité est supérieure.
L’énergie éolienne n’émet pas de gaz à effet de serre. Selon RTE (2020), les émissions évitées grâce à la production éolienne et solaire se chiffre à environ 22 millions de tonnes de CO2 par an.
L’énergie éolienne constitue une énergie compétitive au coût limité pour le consommateur final, grâce aux évolutions technologiques et au renforcement des investissements dans cette énergie à faible émission de CO2.
Depuis 1993, on assiste à une croissance rapide de la fabrication d’éoliennes. En France en 2020, les emplois de la filière ont augmenté significativement, avec un taux de croissance de 12 % et un total de 22 600 emplois directs et indirects. Selon l’Ademe, à l’horizon 2050, les coûts de production des énergies renouvelables devraient encore diminuer grâce à la poursuite des progrès technologiques et aux économies d’échelle.