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À Dubaï, aux Émirats arabes unis, les États se réunissent pour négocier sur des engagements identifiés par l’organisateur de la COP : le triplement des renouvelables, le financement de la transition écologique, l’aide aux pays du Sud, ou encore l’adaptation au changement climatique.
Hors tables des négociations, les ONG, la société civile ainsi que les entreprises sont invitées à écouter et à contribuer au débat. Malgré l’accélération des efforts mondiaux de décarbonation, les objectifs de l’Accord de Paris ne sont pas en passe d’être atteints. En effet, d’après l’ONU, les politiques actuelles conduisent d’ici 2100 vers un réchauffement climatique de près de 2,6 °C si nous réalisons nos engagements, 3 °C si nous restons sur notre trajectoire actuelle.
Une dynamique positive a certes été enclenchée : depuis les Accords de Paris, les États ont engagé des plans d’action portant sur 95 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. La moitié des émissions peuvent d’ores et déjà être supprimées grâce à des leviers identifiés et opérationnels. Mais l’inflation, la crise énergétique et les tensions géopolitiques viennent perturber cette dynamique. De plus, certains acteurs s’inquiètent du coût de la transition énergétique et demandent de revoir à la baisse les ambitions mondiales. Or, l’enjeu est colossal et il y a urgence.
ENGIE a une responsabilité centrale dans la réponse aux défis climatiques et dans l’accompagnement de chacun de ses clients dans leur démarche de décarbonation. Participer à la COP28 reflète cette conviction profonde que la transition est possible, réaliste et même désirable pour tous. Nous devons avancer, ensemble, et à un rythme soutenu.