La « cité du Lys » et ENGIE sont liés depuis plusieurs années par une relation de confiance. Le Groupe est actuellement chargé de la gestion des systèmes de climatisation de l’Université de Florence, de l’antenne locale du Centre national de recherche et de l’Instituto degli Innocenti, un édifice de 600 ans. Il a, par ailleurs, amélioré l’efficacité des installations énergétiques équipant les bâtiments administratifs de la ville et des systèmes d’éclairage public des municipalités de Dicomano et Vicchio.
Un nouveau chapitre s’est ouvert avec la signature d’un contrat de grande ampleur visant à améliorer l’efficacité énergétique — tout en conservant le confort des visiteurs et usagers — de plus de 400 bâtiments. Certains d’entre eux font partie des plus prestigieux de la ville, comme le Palazzo Vecchio, le couvent de Santo Spirito, le musée du cyclisme Gino Bartali et la bibliothèque du Palagio di Parte Guelfa. S’y ajoutent des monuments, écoles, musées, installations sportives, églises, lieux culturels et services publics.
La solution ENGIE : agir sur tous les fronts de l’efficacité énergétique
L’intervention d’ENGIE sur l’ensemble de ces sites consiste à améliorer les systèmes d’alimentation énergétique des bâtiments en réduisant la dispersion de la chaleur et la consommation associée, et en intégrant de l’énergie renouvelable.
Le Groupe va également renforcer la performance énergétique des systèmes thermiques et électriques, de l’isolation thermique et des vannes thermostatiques ; installer des lampes LED en remplacement des ampoules traditionnelles ; et mettre en place des panneaux photovoltaïques.
Ce vaste programme d’efficacité énergétique apportera des bénéfices tangibles à l’ensemble de la communauté en matière environnementale, économique et sociale.
Chiffres clés
- 30 % d’économies sur l’énergie thermique.
- 20 % d’économies sur l’énergie électrique.
- 45 000 tonnes de CO2 évitées chaque année, soit la quantité absorbée par près de 250 000 arbres.
« Beaucoup de nos bâtiments publics sont utilisés non seulement par ceux qui y travaillent, mais aussi par les visiteurs, car ce sont des musées. Le défi consiste donc à concilier la modernisation technologique des installations et l’attention portée au contexte historique et architectural. »
Dario Nardella, maire de Florence